Chaque fois que je dis que mon bateau est un Fjord 28 je rencontre la même réaction dubitative. Ce n’est pas un Jeanneau, ce n’est pas un Beneteau ni un Bavaria.
C’est un bateau de fabrication norvégienne. Un Fjord 28 cs. Ah. Et que fait un bateau norvégien ¡a Barcelone ?
Je n’en sais rien . Je sais simplement qu’il me convient parfaitement . A suivre le diaporama que je viens d’ajouter ‘a la page « Apalula« .
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Attention à ceux qui disent qu’il n’est pas beau mon bateau !
La sortie du 10 avril sans vent ou presque, 1 ou 2 noeuds que nous essayons d’attraper, en le cherchant en oservant la mer : c’est ainsi qu’on parvient à le trouver.
De nouveaux équipiers : Nuccio y Violetta
Sergio
et des têtes déjà connues, Ulysse qui s’entraîne à tenir le timon. Il n’est jamais trop tôt 🙂 avant de réunir les argonautes
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Sortie très sympathique, comme toujours, hehe, où nous avons parlé e plein de choses, y compris Democrite ...
Nous commençons la sortie avec cette chanson. ¡¡ Soy el capitan !!
edit : la traduc espagnole me donne pour le fleuve amour : fleuve du dragon noir… décidément…
M’enfin, je ne suis pas prêt d’en changer le nom
Améliorations techniques
Bientôt une plaque photovoltaïque (je me sens devenir écolo) de 75 W, 6,5 A de l’heure pour pouvoir naviguer tranquillement avec l’électronique, garder le frigo en marche et écouter de la good music 🙂
voilà les photos de la deuxième sortie sont arrivées 🙂
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47 ans , eh oui… et c’est un nombre premier, et ce jour fut pour pour moi au point de vue numérologique un jour 1 et un mois 1. Le signe d’un commencement ?
Où l’on voit Justine tenir la barre sous le regard admiratif de Marco :
et Cristiano m’aider à enrouler le génois :
Où les deux tours près du port olympique ont failli donné ne mauvaise figure à Beppe qui a pourtant l’air inspiré
Roberta la photographe photographiée :
J’ai laissé la barre lors de cette sortie, et je suis allé m’amuser sur la proue, faire un peu de rodéo au rythme des vagues :
Voilà, c’est fait. après une semaine un peu folle et une séance d’équilibriste, j’ai emmenagé dans l’Apalula.
C’est un bateau de marque Fjord, de fabrication norvégienne. Et ça se voit !!! il est fait pour supporter les conditions météos scandinaves…
Il mesure 8,50 m de long, 3 m de large et une habitabilité exceptionnelle. Ah la hauteur de plafond !
Apalula a été customizé par des marins : eau chaude, douche, adaptateur 220 volts qui permet d’utiliser les appareils électriques en navigation ( attention la batterie !), Tv TNT, une vraie petite maison flottante.
Et donc, je fais mon voyage immobile : je passe d’un Deserts à un Fjord sans sortir du port olympique de Barcelona 🙂
Et voici quelques photos de mon aménagement intérieur, la table qui se transforme en lit. Et qui me sert de » bureau » d’où je vous écris en ce moment même… (d’autres à venir rapidement)
Où l’on voit également Apalula depuis Deserts
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Je ne connais pas encore l’origine de mot, je n’obtiens que Apalala sur internet, mais j’aime bien quand même.
J’ai un bon moyen mnémotechnique de me rappeler le numéro de ponton, le 2327, ça me fait penser à la Saint Habib…
Apalula, Apalula, Apalula
C’est comme un cri de joie, comme un cri de guerre
Après moultes périgrinations, je me pose, et plutôt qu’atterrir à Barcelone, je décide d’y amerrir .
Mon expérience professionnelle, tournée vers l’hôtellerie, la restauration puis le tourisme global, m’a permis de faire le tour du monde, grâce, notamment, à ma participation au Club Méditerranée .
En dehors de mon activité de cuisinier, je participe aux différentes activités sportives:
(Trapèze volant, ski nautique, voile, planche à voile) et aux animations ( spectacles, cabarets, café théâtre).
J’ai pu apprendre ainsi à dominer plusieurs langues, notamment l’espagnol, l’anglais, l’italien en plus de l’allemand appris à l’école, ainsi que plein de petites choses en russe, turc, japonais….
Je suis titulaire depuis d'un diplôme de traduction commercial
Mais mon expérience de l’étranger n’a pas commencé là. En 1983, alors que je devais partir au service militaire, je décide de le faire en outremer : 18 mois au lieu de 12, mais la première occasion de partir voir ailleurs ce qui se passait ; c’est ainsi que je découvrais le Sénégal, où j’ai eu l’occasion de me lier d’amitié avec des habitants de la Medina, de découvrir le Thiossane Night où je rencontrai Youssou N’Dour.
"Autodidacte professionnel", mon goût du changement et de la polyvalence me font bifurquer vers une nouvelle profession : moniteur de voile puis responsable d’école de voile.
Sénégal, Allemagne, Suisse, Espagne, Maroc, Tunisie, Turquie, Italie, Grèce, Tahiti, Indonésie, Mexique : autant de pays mais encore plus de nationalités rencontrées, collègues de travail ou clientèles…
J’ai également appris à réparer les voiliers, le travail de la fibre et de la résine dans des conditions pas toujours évidentes, du climat et des produits pas toujours faciles à trouver dans certaines contrées.
J’ai amélioré cette expérience au CNB de Bordeaux.
Je recherche un emploi dans le nautisme.Tant que l’horizon est là, tout va…