Posts tagged ‘scoubidou’

noeuds marins

Je viens de monter les vidéos des noeuds décoratifs.

A voir dans cette playlist

le bonnet turc enroulé

le bonnet turc plat

le paillasson

le macramé plat

le macramé torsadé

le scoubidou

la pomme de touline

TINA : There Is New Alternative

Des pommes et des scoubidous

Mais pas de poires..

Nous allons reparler de nœuds, et de noeuds décoratifs en particulier, plus en détail afin de vous permettre d’en avoir l’usage et de les réaliser plus aisément

Bonnet turc

comme le paillasson, peut servir à faire des sous plats

Video 1 on fait le bretzel

Video 2 on fait le premier croisement toujours selon le principe du dessous va dessus

Video  3 on termine par la pointe du bout au milieu du bonnet turc, en passant à l’extérieur du dormant

Video 4, 5, 6 on prend le dormant pour le passer à l’intérieur, sans croiser et faire trois tours ; on voit le résultat

Paillasson

Video 1 disposer le bout en deux boucles que l’on croise

Video 2 croiser les boucles , toujours selon le principe du «  ce que est dessous va dessus » (et vice versa)

Video 3 rabattre les pointes du bout en les croisant, comme d’habitude «  le dessus va dessous »

Video 4 on termine la première phase avant le serrage

Video 5 , 6on serre, doucement, peu à peu, pour garder la forme équilibrée

Pomme de touline

Video 1 on fait les 3 premiers tours autour des doigts

Video 2 on retire soigneusement le bout de la main et on le plie pour les trois tours suivants : moment délicat où il ne faut rien lâcher

Video 3 enfin on fait le troisième mouvement qui complète la pomme

Video 4 , 5, 6 le serrage final ; on le commence par la pointe du bout qu’on avait dans le creux de la main au début, c’est notre repère. Il ne faut pas chercher à serrer le nœud du premier coup, il faudra si prendre à plusieurs reprises, tout doucement

Scoubidou

le S que l’on retrouve au début de la plupart des noeuds décoratifs est travaillé en trois dimensions, et non simplement à plat


Macramé plat et Macramé torsadé ( qui consiste simplement à inverser le passage des boucles par rapport au macramé plat)

S et double S qui s’entrecoisent autour d’un double bout

Un peu de cuisine

Salsa mucho

C’est le nom que j’ai donné à ma sauce piquante que vous trouverez sur la page cuisine :

J’y mets beaucoup d’ail, beaucoup de piment, beaucoup d’oignon, de tomate, de piment, de miel, de sauce soja, de piment, beaucoup de vinaigre, de ketchup et beaucoup de piment…

Cette sauce à le gros avantage de s’adapter à presque tout : viandes blanches, poissons, œufs au plat ( au petit déj, hummmmmmmmm ), en apéritif. Elle est vraiment très pratique, surtout pour ceux qui aiment les piments et la cuisine sud asiatique.

Salade de fruit

Il y a des bruits qui courent comme quoi l’hiver serait fini….il paraît….

J’ai ajouté à la recette d’ananas au sirop des fraises et des bananes : mortel.

N’hésitez pas à charger le sirop et à en faire une bonne quantité : mélangé à du rhum ou à de la vodka, il devient un cocktail d’été explosif…


Les flammes de l’enfer

Jusqu’à l’avènement du christianisme, les croyances décrivaient l’enfer comme un gouffre obscur, une longue léthargie incertaine, un étang glacé. De feu point.

C’est logique : la  maîtrise du feu  par l’humanité a été le début d’une nouvelle ère : cuisson de la nourriture et son amélioration, le confort de la chaleur, la protection contre les fauves.

Plus qu’un progrès, la maîtrise du feu est un véritable saut technologique, sociologique, philosophique vers le bien-être .

Peut-être la naissance de l’humanité en tant que telle ?

D’après Hubert Reeves, le chaînon manquqnt entre le singe et l’Homme, c’est nous…

La possibilité de cuire la viande permet l’ingestion d’une plus grande quantité de protéines en facilitant leur digestion.

Le feu améliorera la qualité des armes, de la pointe des lances, la chasse devient plus efficace, on peut tuer des animaux plus gros.

Avec la cuisson des aliments commence les rudiments de la gastronomie et du plaisir de manger.

La chaleur du feu son confort, c’est le plaisir de se retrouver dans la grotte, la hutte, la maison, le foyer…

La maîtrise du feu c’est la découverte du plaisir dans toutes ses acceptations. Mais c’est peut-être aussi la naissance de l’individualisme : on n’a plus besoin de se serrer les uns contre les autres pour se protéger des affres de l’hiver ou de la menace des prédateurs.

L’enfer  chrétien fait de feu et de flammes nous fait entrer dans une autre logique : le rejet des plaisirs  corporels, charnels. Nous savons que trop bien aujourd’hui à quel point l’hédonisme, la recherche du plaisir est condamné par le dogme chrétien – même si les moines au cours des siècles ont démontré leur capacité à fabriquer du vin et des spiritueux -, en cela  remercions le  mythe des noces de Canaa : Jésus était constamment accompagné d’une douzaine d’individus et c’est normal, il était capable de transformer l’eau en vin , succès garanti !!!

Le feu , symbole de plaisir et de connaissance est donc logiquement honni par ces religions nouvelles qui s’inspirèrent de  Platon, rejetant le corps au profit d’un « concept » aux contours suffisamment flou pour que les hiérarques qui allaient se suivre durant les siècles suivants en fassent un peu ce qu’ils veulent.

Le vrai cadeau que nous lègue le christianisme, finalement c’est sa vision de l’horreur absolue- le plaisir physique – et en la rejetant nous nous réapproprions nos corps .

On dit merci qui alors ?

Merci Dom Pérignon, foi(e) de champenois !!

Les petits cochons et le renard dans le poulailler

Sauver les banques : jusquà quand ?

Les anglosaxons en inventant l’acronyme PIGS, dans une condescendance non feinte, voire un racisme envers ces métèques bouffeurs d’olives ont rappelé sans le vouloir à travers nos contes d’enfants  la définition que Marx donnait du capitalisme , la liberté du renard dans le poulailler ; il s’agit dans le cas actuel de la liberté du loup dans la porcherie.

Ils ont bien fait finalement, nos amis anglosaxons, d’inventer le concept PIGS : les rôles sont clairement définis et nous savons désormais que les agences de notations réfugiées quelque part du côté de wall street se comportent et se sont toujours comportées comme des loups. Et continueront à le faire.

A savoir quel sera le petit cochon européen qui construira une maison  assez solide pour abriter les autres, et non pas leur claquer la porte au nez , ou ouvrir seulement contre monnaie sonnante et trébuchante.

Les efforts que l’on demande aux peuples européens et la soi-disante aide que recevront les pays en difficulté sont exactement du même ressort que le système mis en place pour aider les pays pauvres : nous avons toutes les raisons de nous inquiéter.

Sauver l’euro ou sauver l’Europe, pour moi  la réponse est toute trouvée :

TINA

THERE IS NEW ALTERNATIVE

Des cochons, des loups, des poules et des renards… Heureusement il y a les chats

Oui, les chiens aussi, Sandra !!

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